Archives de catégorie : Nouvelles

Focus on Ukraine

Zurich, 26 February

Ukraine Decision

  • The recent decision of the National Bank of Ukraine to announce a more flexible exchange rate policy can be seen as first gesture in front of IMF and EU demands
  • Ukraine is in need of large-scale and quick financial assistance, expected to be more than USD 35 bn.
  • IMF/EU and Ukrainian authorities need make the choice between increasing currency flexibility, fiscal austerity and serious structural reforms.

Key Economic Indicators

Source: IMF WEO as of October 2013, Thomson Reuters

The today move of the National Bank of Ukraine to officially announce a more flexible exchange rate policy can be seen as anticipation of IMF/EU demands. Today the UAH (national currency) slumped even further reaching the level of USD/UAH 10, bringing total depreciation to 20% from the beginning of the year. With markets expecting the IMF to demand more FX flexibility but doubting the sufficiency of reserves, the near term outlook of the currency before external support is in place is highly uncertain, with a substantial risk of overshooting.

Ukraine will need large-scale and quick financial assistance ultimately, possibly more than USD 35 bn. Given both, an unsustainable external and fiscal position, it is no doubt that Ukraine will need large-scale financial assistance going forward. Recent rumored sums in the range of USD 25-35 bn might be sufficient to cover the immediate financing gap over the next 1-2 years.

Market voices presume that even a somewhat larger sum might be needed in order to have sufficient buffers. Any large-scale IMF/EU support package should bring in sufficient buffers for potential downsides (e.g. retaliation measures of Russia, potential recapitalisation needs in the banking sector). In order to reach an overall financing volume of USD 35 bn (or more) EU and European countries (via bilateral loans) have to make sizable important commitments.

IMF/EU and Ukrainian authorities will have to meet the right decision. The challenge will play an important part between increasing currency flexibility, fiscal austerity and structural reforms. There is no doubt that a large-scale joint IMF/EU support package cannot be just about the provision of funding to Ukrainian authorities (i.e. the Ukrainian National Bank and directly or indirectly also the Treasury). Large-scale IMF/EU financial assistance is likely to come with tangible demand for reforms and conditionality attached. The targeted areas for reforms will most likely be similar to previous support packages (as the main vulnerabilities and weakness of the Ukrainian economy are more or less the same compared to previous bail-outs). Therefore, the question of the exchange rate regime will surely be an issue of dicussion.  IMF argued already for years in favour of a higher degree of exchange rate flexibility in case of Ukraine (which was also included in previous IMF deals, but was not implemented).

The question of changes to the Ukrainian exchange rate (regime) has to be seen in context of recent exchange rate developments geographical region. The Russian rouble (RUB) and Kazakh tenge already experienced significant devaluations (in case of the RUB spread throughout 2013 and 2014; in case of Kazakhstan as a large one-off devaluation recently). These developments are logically increasing (market) pressure on UAH. Therefore, from this perspective additional UAH devaluation. /RLU

 

 

 

Business Angels en Afrique: Newsletter 2iE

BURKINA FASO, Février 2014

Logo_2iEc5c68b0c6d2bea431c857ce5127cee1e1777Institut International d’Ingénierie de l’Eau et de l’Environnement

Rue de la Science – 01 BP 594 – Ouagadougou 01 – BURKINA FASO – IFU 00007748B; Tél. : (+226) 50. 49. 28. 00 – Fax : (+226) 50. 49. 28. 01 -Email : 2ie@2ie-edu.orgwww.2ie-edu.org

Crédits ©Fondation 2iE, Fevrier 2014
Crédits photos: ©Webistan – ©Fondation 2iE
  • Pour une croissance partagée en Afrique
  • Quand 1+1 font 3 : rétrospective sur le Green Start Up Challenge
  • La campagne de FasoPro sur KissKissBankBank

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Edito

Pour une croissance partagée en Afrique !

Venant des quatre coins du monde, l’écho d’une Afrique en pleine croissance, continent du siècle à venir, se fait ressentir avec de plus en plus de force. Cependant, pour être pérenne et faire définitivement taire la rumeur d’une « Afrique-désespoir », cette croissance ne pourra faire l’économie d’être inclusive, partagée et équilibrée, en un mot pourrait-t-on dire, portée par l’entrepreneuriat social.
Une conviction partagée par le Directeur de la Banque Africaine de Développement lors du Forum « Convergences 2015 », ainsi que par l’éminent économiste Muhammad Yunus, prix Nobel de la Paix 2006. Ce dernier, encourage en effet les Africains à développer ce système économique dont l‘objectif premier est d’améliorer les conditions de vie des populations grâce à la création d’entreprises sociales : « nous faisons des affaires pour résoudre les problèmes des populations afin d’améliorer leur existence », résume-t-il.
Si les chiffres affichés de la croissance dans les pays d’Afrique Subsaharienne sont encourageants, ayant conduits certains à qualifier le Burkina Faso de « petit Dragon », l’impact sur les populations, seul garant de la solidité du progrès économique, n’est pas encore avéré. Ainsi, la création de richesse, réelle, n’entraîne pas création d’emplois et cela doit nous interpeler. L’entrepreneuriat social, solution économique durable qui permet une création de richesse bénéficiant aux populations du continent africain, peut-être la solution pour remédier à ce constat.

De la parole aux actes. 

Mais, au-delà de la promotion d’un modèle de développement ad hoc, permettant de constituer une solution adaptée à l’Afrique, il s’agit désormais de se donner les moyens de nos ambitions.
Car l’entrepreneuriat social ne deviendra pas une réalité en Afrique sans efforts ! Accompagner les entrepreneurs dans leurs démarches, développer l’esprit entrepreneurial, financer les travaux de recherche pour concevoir les prototypes, favoriser les mises en réseau et les partenariats … C’est sur ce terrain que 2iE s’est engagé, grâce à votre soutien.
Cette année déjà : un appel à projets, trois nouveaux entrepreneurs accompagnés, des aventures qui prennent vie et des dizaines d’étudiants investis dans le Parcours Entrepreneur … La cuvée 2014 s’annonce  d’autant plus riche, car ce défi de l’entrepreneuriat social, nous souhaitons, réellement, le relever !
Bonne lecture.

Bernard BRÈS, Directeur du Technopôle 2iE

Le réseau aujourd’hui c’est

Norvège: Excédent Commercial Record

Helsinki, 18 Février

Norway7 L’excédent commercial de la Norvège a atteint un niveau record en janvier, à 48,8 milliards NOK (5,9 milliards EUR), en progression de 41,8% sur un an, selon des chiffres officiels publiés mardi.

La progression s’explique par une nette augmentation sur cette période des exportations de pétrole (+38,0%) dopées par des volumes et des prix en hausse, a expliqué l’institut statistique national (SSB).

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Les ventes à l’étranger des biens traditionnels –hors hydrocarbures– affichent elles aussi une solide progression de 10,1%, soutenues notamment par le saumon frais et les produits manufacturés.

Au total, les exportations sont en hausse de 16,5% par rapport à janvier 2013 tandis que les importations reculent de 3,8%. Hors hydrocarbures, la balance commerciale norvégienne accuse un déficit de 7,2 milliards NOK en janvier./RLU

Source: SSB

Fitch confirme le « BBB+ » de l’Irlande

LONDRES, 21 février (Reuters)

Fitch Rating

Fitch Ratings a annoncé vendredi avoir confirmé la note « BBB+ » de l’Irlande, assortie d’une perspective stable, l’agence de notation observant qu’une accélération de la croissance économique et une baisse du chômage plus forte que prévu en 2013 témoignaient d’une reprise généralisée.

Fitch estime que la croissance pourrait atteindre 1,6% en 2014 et 2,2% en 2015.

A la mi-janvier, l’agence Moody’s Investors Service avait relevé la note souveraine de l’Irlande, à Baa3, évoquant pour cela la récente accélération de la croissance économique du pays et sa sortie en décembre du programme d’aide international. Ce dernier point a également été évoqué par Fitch pour justifier ses décisions.

L’agence prévoit un déficit budgétaire de 4,8% du PIB cette année, impliquant un solde primaire équilibré, à comparer à un déficit primaire de plus de 9% du PIB en 2009, hors recapitalisation bancaire.

Offenlegung der Goldstatistik in der Schweiz

Artikel in der Neue Zürcher Zeitung, 20. Februar 2014

Die Geheimniskrämerei in Sachen Gold ist Geschichte: Seit Anfang des Jahres wird die Ein- und Ausfuhr des Edelmetalls in der Schweizer Aussenhandelsstatistik wieder nach Ländern aufgeschlüsselt. Am Donnerstag werden solche Zahlen zum ersten Mal seit 33 Jahren präsentiert. Ab 1981 wurde nur die Gesamtsumme der Importe und Exporte ausgewiesen. In welchem Rahmen die historischen Zahlen veröffentlicht werden, darüber wird in Bern noch diskutiert. Mit der Offenlegung der Goldstatistik wird den Anliegen mehrerer parlamentarischer Vorstösse sowie der Empfehlung 9 im Rohstoffbericht des Bundesrates entsprochen. Damit reagiert die Regierung auf den Vorwurf der Intransparenz im Rohstoffhandel. Mehr in Goldhandel im Kalten Krieg_Artikel_ Neue Zürcher Zeitung 20_Februar _2014

Rare Metals at AVALON 2014

AVALON Rare Metals

Zurich, 18 février

AVALON logoAvalon Rare Metals Inc. is a mineral development company focused on rare metal deposits in Canada. Its 100%-owned Nechalacho Deposit, Thor Lake, NWT is exceptional in its large size and enrichment in the scarce heavy rare earth elements, key to enabling advances in clean technology and other growing high-tech applications. With a positive feasibility study and environmental assessment completed, the Nechalacho Project remains the most advanced potential large new source of heavy rare earths in the world outside of China, currently the source of most of the world’s supply. Avalon is adequately funded, has no debt and its work programs are progressing. Social responsibility and environmental stewardship are corporate cornerstones.

Avalon was the first junior exploration company to formally adopt the Prospectors and Developers Association of Canada’s (PDAC’s) e3 Plus principles and guidelines as policy. Avalon is committed to being an environmentally and socially responsible corporate citizen in how it conducts its exploration and development activities. View Responsible Exploration for more details.

Avalon is the proud recipient of the Prospectors and Developers Association of Canada (« PDAC »), 2010 Environmental & Social Responsibility Award in recognition of the Company’s community engagement efforts during the exploration of  its Nechalacho rare earth elements deposit, Thor Lake, NWT. RLU

Download (PDF) AVALON_NWTMN Participation Agreement Feb 2014

Source: www.avalonraremetals.com

 

 

Perspectives de l’Économie Marocaine en 2014

Zurich, 18 février

Pour 2014 est attendue une croissance du PIB marocain de 3,5 %, contre 4,6 % l’année précédente. Elle sera principalement portée par le rebond des activités non agricoles, lié au redressement de la situation économique en Europe. La progression du PIB du royaume sera aussi soutenue par le rebond escompté de l’investissement (déjà̀ constaté au deuxième semestre de 2013) et par un relatif dynamisme (+ 4 %) de la consommation des ménages.

La hausse de cette dernière sera cependant limitée par les réductions de subventions récemment décidées par le gouvernement.

Source (Bloomberg, Jeune Afrique, www.finances.gov.ma)

Ces mesures devraient se décliner par une inflation de 3 %, contre 1,9 % en 2013. Mais elles permettront une accélération dans la réduction du déficit public, qui devrait se stabiliser à 4,4% du PIB en 2014, contre 5,9 %  en 2013 et 7,6 % en 2012. La poursuite de la reforme de la caisse de compensation est nécessaire pour ramener ce déficit sous la barre des 3 % (niveau envisageable à long terme pour maintenir la dette publique aux alentours de 60 % du PIB).

 

Réserves de change

Sur le plan des échanges avec l’étranger, l’atténuation du déficit commercial, combinée à une reprise attendue des transferts des Marocains résidant à l’étranger et à une hausse des recettes du tourisme, devrait ramener le déficit du compte courant à 8,1 % du PIB en 2014, contre 8,6 % l’année 2013 et 10 % en 2012.

Malgré́ ce déficit persistant, les réserves en devises devraient légèrement augmenter en 2013 et 2014 grâce à une très forte progression des investissements directs étrangers et au recours grandissant du gouvernement aux émissions de dette à l’international. Mais pour apporter une réponse structurelle et durable à la problématique de la balance des paiements, l’État devrait encourager les grands projets orientés vers l’export (plans Émergence et Azur). RLU

Cameco (CCJ)

Zürich, 10. Februar

CamecoDas vierte Quartalsresultat des zweitgrössten Uranproduzenten der Welt hat gewinnmässig enttäuscht. Der Umsatz lag mit CAD 977 Mio. um 15% über dem Vorjahresniveau und damit 3% über dem Konsens. Die Produktion lag 14% über dem Vorjahresniveau, aber die Preise gerieten unter Druck (–17%). Die realisierten Preise lagen deutlich über den Markterwartungen.

Die Kostensituation hat sich ebenfalls verschlechtert und die Abschreibungen sind höher als erwartet ausgefallen. Der publizierte GpA von CAD 0.38 (im Vorjahr CAD 0.59) vergleicht sich mit einer Konsenserwartung von CAD 0.53. Es gab keine Neuigkeiten von Cigar Lake. Dieser ist das weltweit grösste Uranprojekt (hoher Urangehalt von 16.8% im Gestein, 20% von Cameco Reserven). Der geplante Produktionsbeginn ist im 1. Quartal 2014.

Cameco befindet sich nach wie vor in einem relativ schwierigen Umfeld, aber ein übertriebener Pessimismus wäre auch nicht angebracht. Die Nuklearkatastrophe von Fukushima (Japan) hat der Branche und der Urannachfrage zweifellos einen deutlichen Schlag versetzt. Cameco ist direkt von der Entwicklung in Japan tangiert, weil gut 13% der Umsätze in dieser Region erwirtschaftet werden.

Langfristig dürfte die Kernenergie trotz ihrer Schattenseiten aber weiterhin einen wichtigen Beitrag zur Energieversorgung liefern. Bei relativ stabilen Kosten entsteht kein CO2-Ausstoss; und dies ist ein bedeutender Vorteil. Der Zeit sind gemäss der Energy Information Administration (EIA) 436 Kernkraftwerke in Betrieb. Bis 2022 sind 72 neue Werke geplant, 42 sollen stillgelegt werden. Die Nachfrage nach Uran dürfte damit auf gut 220 Mio. Pfund ansteigen, was bis 2022 einem jährlichen Zuwachs von knapp 3% entspricht.

Die Prognosen sind aber mit grossen Unsicherheiten behaftet. Die Bewertung der risikoreichen und volatilen Cameco-Aktie liegt leicht über dem historischen Durchschnitt. / RLU